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 Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV]

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Vyle Dahl Maz Yien

Vyle Dahl Maz Yien


Race : Harpie

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MessageSujet: Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV]   Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV] EmptyVen 29 Avr - 15:31

Bien qu'il ne mange que de la viande humaine faisandée, Vyle, jeune harpie de son état, faisait- semblant- de faire ses courses sur le marché une fois par semaine. Cela lui permettait de prendre la température de l'atmosphère de la Ville, d'entendre des ragots et d'observer les petites manies du gouvernement. De plus, cela le faisait connaître dans son quartier et lui permettait d'avoir des indics... sans oublier qu'il était moins suspect que s'il ne faisait jamais de courses. C'est vrai si on y pense, une personne qui se s'achète jamais à manger et qui semble bien vivre, c'est qu'il a des choses à cacher. Il remontait donc une fois par semaine chez lui, après avoir salué le portier et la concierge avec un lourd panier.

Ce matin, comme tous mes samedis, il laissait Pongo à la maison. Il s'était levé assez tôt, il était partit courir un peu dans le parc avec son chien en laisse. Ce dernier avait encore dragué la moitié de la gente féminine présente... puisqu'il avait déjà conquit le cœur de l'autre moitié. Il se disait que le jour où il voudrait l'abandonner, il aurait juste un pas à faire dehors pour qu'une horde de futures maîtresses le prennent en affection. Mais bon. Il l'aimait beaucoup trop pour s'imaginer vivre sans lui. Ce chien était collant, affectueux et terriblement aimant. Dur de ne pas lui rendre la pareille.

Ne travaillant pas, mais tout de même soucieux de son image, il s'était vêtit bien plus décontracté qu'à son habitude, sans pour autant se départir de la tendance chic, branché et surtout onéreuse qui faisait son style. Il portait donc un jean noir, bien coupé, un pull fin en cachemire noir avec un col V dont le col d'une chemise rouge dépassait. Comme il faisait encore frais, il avait mis son fameux cuir rouge, reconnaissable entre tous. Seul un œil exprès aurait pu voir qu'il avait perdu un peu de poids.

Il s'arrêta devant le primeur. Ce dernier commença un monologue long et insipide sur ses superbes fraises rouges et sucrées à souhait... en lui montrant juste après les oranges et entama en nouveau discours qui dépassait le harpie. Cependant, ce dernier fit mine de s'y intéresser au plus haut point et à son pour il venta les mérites du paysan qui ne produisait que du bio. Il hocha la tête et il lui fait un grand sourire, lui réclament une barquette des cinq-cent grammes de ces si-délicieux fruits rouges, puis une livre d'orange à jus. Dans sa tête il se dit que Gemma allait être bien contente... tout comme sa banshee de femme de ménage qui était une vrai mordue de fraise.

Il sortit son porte feuille pour payer quand soudain...

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Luce Leroy

Luce Leroy


Race : Ange noir
Lieu d'habitation : Une maison du lotissement
Métier/Occupation : Pompes funèbres/ Nettoyage de scènes de crime et Vice-Présidente de l'OM

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MessageSujet: Re: Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV]   Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV] EmptyMar 3 Mai - 14:17

Luce lisait le journal tranquillement en marchant, ignorant les plaintes des passants qu’elle manquait de bousculer. Elle se régalait de les apercevoir du coin de l’œil s’écarter à son approche sans qu’elle ait besoin de les inciter plus avant. Seule sa démarche, le bruit de ses talons et les protestations de ces humains lui laissait un passage auprès de cette foule. Quel délassement. Nullement besoin de poser ses yeux sur eux et elle avait déjà la passage. C’était dans l’ordre des choses de toute façon ! C’était ainsi que cela devait se passer.
 
Si en ce Samedi matin, le citoyen moyen allait faire ses courses ou un jogging, l’ange noire et Vice-Présidente de l’OM lisait les nouvelles à la recherche d’évènements bien particuliers. Elle essayait de voir si la police était enfin sur une piste quant aux dernières actions de son Organisation ou encore sur sa trace à elle. D’abord dépitée de ne pas voir son meurtre en première page, elle le remarqua en page 3 avec un appel à témoin. Les forces de l’ordre n’avaient révélé que peu d’information.
 
Le corps avait disparu et elle n’avait laissé derrière elle qu’assez d’indices pour faire croire à un meurtre et ne pas gaspiller du sang précieux à ses vampires ou encore la chair du corps pour des loups ou harpies. En fin de compte, elle était satisfaite, pas de première page, certes, pourtant l’Officier en charge de l’enquête laissant assez d’indices dans sa conférence de presse pour lier son nom de tueuse au crime sans pour autant la citer. Sa réputation à Ténébris était bien connue des flics et ils n’étaient toutefois pas prêt de la trouver. Jamais d’empreintes, pas d’ADN, pas de témoins. Des années et des années de crimes et pas une seule piste. Grisant.
 
Tout en continuant sa marche, elle tourna les pages jusqu’aux avis nécrologiques et s’arrêta pour en regardant les noms. La plupart des corps en question étaient dans ses frigos, prêt à être enterré. 3 victoires avant que le soleil ait atteint son zénith : la police n’avaient toujours aucune information quant à ses actions de tueuses, l’OM restait secrète et protégée et elle conservait sa position de leader sur le commerce mortuaire de la ville. Satisfaite, elle replia le journal et, pour la première fois, leva les yeux pour regarder autour d’elle.
 
Sans s’en rendre compte, elle avait marché jusqu’au marché. Les gens flânaient autour d’elle inconscients de sa nature et de ses pensées. Parmi les badauds, elle reconnue une silhouette familière et qui tombait à pic. Elle avait justement à lui parler et il n’allait pas apprécier. En fin de compte, elle allait le gronder. S’avançant vers lui, elle roula son journal et le mit sous son bras jusqu’à arriver derrière le harpies. Même de dos, elle put constater qu’il avait perdu un peu de poids… Tiens donc… L’ange était peu habituée à dire bonjour ou à interpeler quelqu’un en le hélant, de plus, elle compter le réprimander comme un môme.
 
De deux doigts, elle lui attrapa l’oreille et le fit tourner sur lui-même afin qu’il lui fit face. Avec un air de reproches, elle le toisa, constatant sa silhouette plus fine que d’ordinaire et, désigna du menton les fraises.
 
“C’est avec ça que tu comptes te remplumer ?”
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Vyle Dahl Maz Yien

Vyle Dahl Maz Yien


Race : Harpie

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MessageSujet: Re: Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV]   Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV] EmptyDim 8 Mai - 22:26

(HJ : Oh mon dieu, que j'ai rie en te lisant XD)

« Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïïïïïïïïïïïïïïïïïeeeuh »

Alors que Vyle était sur le point d'acheter des fraises, il sentit son oreille se faire tirer par le haut. Il n'avait pas vraiment mal... mais c'était quand même très désagréable. Suffisamment pour qu'il laisse tomber ce qu'il avait dans les mains. Il se haussa sur la pointe des pieds comme le font les enfants, croyant que cela réduirait la sensation, mais non. Le bras du tortionnaire se levait souvent juste un peu plus haut. Il ne voyait pas son opposant, mais il avait su de qu'il s'agissait avant même d'entendre sa voix. Il n'y avait qu'une seule personne dans tout Ténébris qui osait faire ça. Il avait beau rechigner qu'il n'était pas un gamin, cette dernière semblait toujours le voir quand il avait dix ans et qu'il était turbulent.

Se remplumer ? Cette ange aimait bien les blagues douteuses de mauvais goût. Mais là, il fallait lui reconnaître qu'elle savait manier les images, pour ça le harpie ne pouvait que s'incliner face à elle. C'était à cause de son franc parlé et de ses expressions toujours choisis avec grand soin qu'il avait apprit à aimer les mots. Il avait choix le journalisme par amour, l'amour inconditionnel qu'il vouait à la langue de Ténébris.

« Luc... ifer. Aïe, je t'en pris, lâche moi l'oreille... aïe... s'il te plaît... aïe... »

Malgré sa mauvaise posture, il gardait son habituel ton un peu impertinent. Il avait toujours éé comme ça, frôlant l'insolence. C'est ce qu'il lui fallait aussi d'être connu dans le milieu politique. Il ne se laissait pas bercer par les doux mots ou les fausses actions caritatives... Il jouait avec les mots, faisant des double sens, sous entendant qu'il n'était pas aussi idiot que les autres pouvaient le penser... tout en faisant croire qu'il n'était pas une lumière. Son petit manège avait bien fonctionné au début. Les politiciens le prenant pour un jeune érudit et malléable. Mais très vite, il avait montré que non... il savait penser par lui-même et qu'il n'était pas une marionnette...

Quoi qu'en cette seconde précise, Luce lui tirait le fils avec sévérité. Elle semblait assez mécontente. Malgré son jeu de mot, la réprimande sévère ce fait clairement sentir. Mais que dire. Crier haut et fort qu'il ne toucherait pas cette nourriture ? Non, il ne rajouta rien à sa supplication...
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Luce Leroy

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MessageSujet: Re: Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV]   Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV] EmptyMar 31 Mai - 11:12

Comme elle l’avait prédit, Vyle se comporta comme un vrai enfant. Il pouvait sembler bizarre de voir une -femme- dans la fleur de l’âge tirer l’oreille d’un jeune –homme- mais elle n’en avait cure. Les regards des passants passaient sur elle comme les saisons, l’ange noire n’y faisait pas attention. Il fallait bien noter que Vyle était du genre à se plaindre. Lorsqu’il s’agissait d’encaisser des remontrances en silence il était en bas de liste. Elle avait bien des fois haussé le ton pour qu’il ferme son clapet et qu’il fasse ce qui lui était demandé.
 
De mauvaise humeur, et le regard sombre, l’ange n’allait pas lâcher prise si facilement. De plus, il venait de la nommer par ce petit surnom qu’elle n’appréciait pas particulièrement. Si d’ordinaire, elle le laissait glisser et n’en prenait pas ombrage, ce Samedi était un jour mal choisis pour la tester. Raffermissant sa prise sur l’esgourde du harpie, ses plaintes se calmèrent pour finalement laisser place à une phrase plus intelligible. Allons bon, il retrouvait ses manières, il était temps. Voulant marquer le coup, elle ne le lâcha qu’au moment où un «s’il te plaît» se fit entendre. Il était temps. Un peu plus et elle aurait été obligée de lui donner une fessée en publique.
 
Le toisant un instant, elle nota qu’une jolie petite coloration venait de se former sur l’oreille qui venait d’être malmenée. Elle devait bien l’avouer, cette couleur lui allait bien au teint.
 
“Ton oreille est le cadet de tes soucis.” Lui lança-t-elle en haussant un sourcil.
 
Le voir à un stand de fraises n’était pas la raison de sa colère. Si elle avait un dent contre lui, elle était parfaitement consciente que le harpie tenait à protéger sa couverture. Sachant pratiquement tout ce qui se passait dans la vie des membres de l’OM, Luce aimait se tenir informée du moindre détail. Vyle était un régulier au marché, il aimait y trainer, parler avec tout un chacun et échanger sur des sujets mondains, l’horreur pure.
 
D’ailleurs la plupart des occupations de Vyle était une horreur aux yeux de l’ange. Comme pouvait-il supporter de se mélanger de la sorte avec tout un chacun, elle ne le saurait jamais. Déjà qu’elle répugnait à passer plus de quelques minutes en la présence d’un humain, alors devoir leur parler pour des entrevues ou des témoignages et tenir en considération leur propos, non merci ! Le moins elle voyait les humains, le mieux elle se portait. De plus, le vendeur de fraise s’était décalé pour mieux l’observer.
 
Il la regardait d’un air inquisiteur, cherchant certainement à découvrir la relation entre eux deux. Ses yeux pleins de questions rencontrèrent le siens et il se figea. Si Luce avait une compréhension parfaite des us et usages humains et de comment charmer une personne, elle n’était pas d’humeur à amadouer ce marchant qui se mêlait de ce qui ne le regardait pas. Son expression extrêmement froide eut raison de ce dernier qui s’écarta afin de converser avec d’autres clients à l’autre bout de son étalage.
 
“Est-ce que tu vas m’expliquer ce qui se passe ou dois-je recommencer ?” lâcha-t-elle en frottant ses doigts l’un contre l’autre, prête à se saisir de la première oreille à portée de main.
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MessageSujet: Re: Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV]   Comme la fraise qui a le goût de fraise, la viande humaine faisandée a le goût de la liberté ou presque. [PV] EmptyMar 14 Juin - 8:01

Si Vyle savait bien une chose, c'est que Luce n'était pas du genre à s'encombrer de choses inutiles tout comme agir de manière inconsidérée. Pourtant, allez savoir pourquoi, mais il trouvait que se faire tirer l'oreille était un brin exagéré. C'était un reproche qu'il pouvait lui faire. Il était peut-être un brin, voir un peu parfois, paranoïaque, mais quand ça le concernait, elle semblait toujours plus enclin à en rajouter une couche. Peut-être un effet secondaire du fait qu'elle l'ait connu enfant. Mais il était loin d'être le seul petit harpie de Ténébris dans ce cas là. Après tout, n'était elle point la fournisseuse quasi-officelle des meilleures viandes humaines faisandées de la Ville ? Personnellement, il le pensait.

N'empêche que les autres se faisaient pas tirer le lobe sans raison apparente. Quand elle daigna enfin le lâcher, il se frotta. Il ne se permis pas de la fustiger du regard, mais l'envie était là. Il n'aurait juste pas osé. En dehors du profond respect qu'il avait pour elle, ce qui était rare de sa part, il savait aussi qu'elle était une personnalité à craindre. Il était bien placé pour le savoir. Il avait fait appelle à elle quand il avait 18ans et qu'il avait commis la plus grosse bourde de sa vie. Et depuis, il travaillait pour elle. Si à la base il avait rejoint l'OM c'était pour éponger sa dette envers elle, mais depuis longtemps déjà, il s'était relié à sa cause et travaillait donc par intérêt.

Le jeune harpie se frotta l'oreille. S'il gardait toujours beaucoup de retenue face à tout le monde, Luce connaissait un peu mieux son vrai visage. Grincheux, de mauvaise fois et un peu immature. Quand elle lui maugréera qu'elle avait cure cette partie auditive de son anatomie qu'elle avait honteusement tirée, il ronchonnant en se plaçant la main dessus. Il n'était pas dans sa tête, il ne pouvait donc pas savoir pourquoi elle lui en voulait comme ça d'un coup, sans crier gare. Il est donc logique que lorsqu'elle lui demanda une explication, il pensait qu'il était en tort à cause des fraises. Elle devait sans doute penser qu'il s'alimentait mal, avec ds mauvais produit et que du coup il avait maigrit. Pas une seule seconde il n'imaginait qu'il puisse s'agir d'autre chose de plus personnelle.

« Écoute Lucifère... je t'assure que je ne mangerais pas de ses fraises ! Je vais les offrir à une de mes amies. Mais il faut bien que je fasse mon travail quand même ! Tu crois que j'ai d'où toutes mes informations moi ? »

Il avait baissé d'un ton, pour que les passants ne les entendent pas, et aussi parce qu'il ne se serait jamais permis d'être trop insolent avec la vice-présidente de l'OM. Puis bon, les vendeurs étaient des vraies commères, il était bien placé pour le savoir, il le chargeait lui-même de les faire parler. Il n'avait donc pas envie que ses derniers colportes des rumeurs à son égard. Il posa sa barquette et donna un billet, l'invitant à garder la monnaie. Il la glissa dans son panier. Gemma serait contente. Bon elle préférait un bon steak la plupart du temps(*). C'est pour ça qu'il allait souvent voir le boucher. Le journaliste lui commandait aussi des truec pour son chien. Et puis bon, ce commerçant avait toujours des choses intéressantes à dire. Aller le voir n'était jamais une perte de temps. Et puis il pouvait contenter les deux amours de sa vie, Pongo et sa meilleure amie, pour qu'il n'avait que de chastes pensées.

« Viens, ici il y a des oreilles indiscrètes... je sais de quoi je parle, vu que mon travail est de délier leur langue... »

(* HJ : j'ai considéré que ça pouvait être possible, si y'a un soucis tu me dis, j'édite)
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